Il achète une voiture à 600 dollars et l’immatricule au nom de son ex : une vengeance qui lui coûte très cher.
L’histoire pourrait prêter à sourire si elle n’avait pas tourné au cauchemar financier. Dans une tentative de vengeance maladroite, un homme a cru trouver une faille dans le système en achetant une voiture à bas prix et en l’enregistrant au nom de son ex-compagne. Résultat : une addition salée qui dépasse largement son coup initial.
Selon les informations relayées, l’homme aurait acheté un véhicule pour environ 600 dollars, avant de le faire immatriculer au nom de son ex, sans l’en informer. Son objectif ? Lui faire porter la responsabilité des amendes liées au stationnement et aux infractions routières, pensant ainsi lui causer des ennuis administratifs.
Mais le plan s’est rapidement retourné contre lui. Les autorités ont identifié la manœuvre comme une usurpation et une fraude administrative, un acte passible de lourdes sanctions. En cherchant à nuire, l’homme s’est exposé à une enquête qui a mis en lumière l’ensemble de la supercherie.
Au final, la facture a été sans appel : près de 150 000 dollars d’amendes et de pénalités, entre les infractions accumulées, les poursuites judiciaires et les frais liés à la procédure. Une somme astronomique comparée aux 600 dollars investis au départ.
Cette affaire rappelle une chose essentielle : utiliser les démarches administratives ou juridiques comme outil de vengeance peut avoir des conséquences graves. Les systèmes d’immatriculation et de responsabilité légale sont conçus pour protéger les individus, et toute tentative de manipulation peut être lourdement sanctionnée.
Une leçon coûteuse, qui montre que la vengeance, surtout lorsqu’elle est guidée par la colère, finit souvent par se retourner contre celui qui la met en œuvre.