Bien qu’il puisse être vrai que les femmes aiment plus intensément et sont très vulnérables dans les relations amoureuses, elles connaissent aussi leur propre valeur. Ainsi, quand une femme se rend compte qu’une relation ne fait que la blesser, vous pouvez parier que quand elle décide de partir, elle ne reviendra plus jamais sur sa décision. 4 pensées qu’ont les femmes quand elles partent pour de bon :
1. Il n’y a aucune raison pour elle de rester : Quand une femme a fait tout son possible pour essayer de remettre une relation sur de bons rails, elle finit par se rendre compte qu’il n’y a aucune raison pour qu’elle continue encore en ce sens. Sauf si les enfants sont en jeu, cela peut peut-être rendre la décision un peu plus difficile à prendre.
Mais même avec une telle complication, quand une femme est finalement épuisée de tous les efforts, surtout quand elle a été dans une relation à sens unique, elle atteindra un point où quitter n’est pas seulement la meilleure décision à prendre, mais sa seule option.
2. Elle a été seule pendant trop longtemps Une vraie relation va bien au-delà d’une étiquette. Pour qu’il soit sain et fonctionnel, il faut que deux personnes soient physiquement et mentalement présentes (impliquées) dans la relation. Donc, si un partenaire est rarement là pour sa femme, alors comment peut-elle appeler ce qu’elle a avec lui comme étant une relation?
3. Elle n’est plus aimée : Oscar Wilde a dit: «Les femmes sont faites pour être aimées, pas comprises.» Bien que les femmes soient parfois difficiles à comprendre (comme beaucoup d’hommes seront rapidement d’accord avec), les aimer est le plus grand cadeau dont elles ont besoin. Quand vous le faites, elles vont vous le rendre et vous montrer combien elles apprécient la façon dont elles sont traitées.
4. Elle sait qu’elle mérite mieux : Le plus grand avantage que puisse avoir une femme dans une relation, c’est de connaître sa valeur personnelle, et quand elle ne reçoit pas le traitement qu’elle mérite, elle s’en rendra compte, et elle ira de l’avant.
