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La santé pour tous !

La mort d'un chien est insoutenable pour certains mais l'amour reçue par «nos meilleurs amis» en vaut la peine. Une étude dirigée par le département de psychologie de l’université du Lancashire central, montre que pour la plupart des propriétaires, la perte d’un chien peut se révéler aussi difficile à surmonter que celle d’un être cher.

  Avoir un chien : la clé du bonheur :

 Quart explique que les chiens sont la seule espèce à avoir évolué spécialement pour devenir nos compagnons et nos amis. L’hypothèse de la domestication développée par l'anthropologue Brian Hare explique la transformation des loups gris –ancêtres des chiens– en animaux sociables avec qui nous interagissons comme avec d’autres êtres humains.

En 2016, une étude révélait que les chiens étaient capables de reconnaître différentes personnes et d’apprendre à interpréter les émotions humaines juste en observant nos expressions faciales. D’autres recherches ont aussi montré que les propriétaires de chiens étaient plus heureux que la moyenne.

Plus qu'un «simple chien» :

 La psychologue Julie Axelrod a écrit que « perdre son chien c'était perdre bien plus qu’un animal de compagnie »: on perd un amour inconditionnel et un compagnon qui offre du confort et de la sécurité. Un tel décès perturbe aussi les habitudes de toute une famille –plus que la mort d’un ami ou d’un proche ne le ferait.

Pour certains propriétaires, le quotidien tourne autour des besoins de leur animal de compagnie : croquettes, toilettage, promenade… Et de fait, une étude a témoigné du fait que les changements d’habitudes font parties des sources principales de stress chez l'être humain.

En 2016, une étude dévoilait que juste après la mort d'un animal de compagnie, les propriétaires vont interpréter ou imaginer des bruits ou des mouvements comme étant ceux de leur animal décédé –ce qui montre à quel point le lien chien-homme peut être puissant. Ces animaux ne sont pas «juste des chiens».

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