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Selon la psychologie, les personnes régulièrement déçues par la vie partagent un point commun inattendu : voici lequel.

Nous connaissons tous quelqu’un — ou nous avons peut-être été cette personne — qui se sent constamment insatisfait de ses résultats, aussi bons soient-ils. Derrière cette déception récurrente se cache souvent un trait de personnalité peu suspecté : le perfectionnisme.

Longtemps perçu comme une qualité, ce besoin d’atteindre un idéal sans faille est aujourd’hui réévalué à la lumière de ses effets psychologiques.

Nous connaissons tous quelqu’un — ou nous avons peut-être été cette personne — qui se sent constamment insatisfait de ses résultats, aussi bons soient-ils. Derrière cette déception récurrente se cache souvent un trait de personnalité peu suspecté : le perfectionnisme.

Longtemps perçu comme une qualité, ce besoin d’atteindre un idéal sans faille est aujourd’hui réévalué à la lumière de ses effets psychologiques.

Un schéma façonné dès l’enfance

Ce trait de personnalité n’est pas inné. Il se construit. Les chercheurs soulignent que le perfectionnisme est souvent nourri dès l’enfance : pression scolaire, attentes parentales élevées ou encore valorisation excessive de la réussite peuvent amener un enfant à croire que seule la perfection est acceptable.

Ce conditionnement se poursuit à l’âge adulte, notamment dans la sphère professionnelle, où l’on confond rigueur et auto-exigence destructrice.

Et si le perfectionnisme n’est pas un trouble en soi, ses conséquences sont bien réelles.

Il est associé à des niveaux plus élevés de stress chronique, d’insatisfaction, voire de symptômes dépressifs. Pire : il empêche souvent de savourer ses réussites, puisque rien n’est jamais « assez bien ».

 

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