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En France, 130 000 cas d'AVC sont enregistrés chaque année soit un AVC toutes les 4 minutes. Afin de vous aider à détecter plutôt la manifestation d'un AVC, les experts ont découvert 4 parties du corps qu'il faut surveiller.  

 Attention à ces 4 parties de votre corps en cas d'AVC : 

Le visage :  si vous remarquez le sourire sur un seul côté ou les muscles du visage qui se relâchent, il faut immédiatement alerter les services de  santé .
Les bras :  une personne qui n'arrive pas à atténuer les deux bras à la même hauteur est peut-être confrontée à une attaque cérébrale. 
La gorge  :  si une personne n'arrive pas à parler ou si elle a des difficultés pour avaler la salive ou les aliments, cela peut-être le signe d'une attaque  cérébrale .
La tête :  une personne qui fait une crise d'AVC perd parfois la notion du temps, se sent étourdie ou ressent de fortes migraines.

D'autres signes peuvent vous aider à reconnaître un AVC comme par exemple :  Douleur ou paralysie n'affectant que la moitié du corps Problèmes de vision (vision double ou brouillée, réduction du champ visuel, perte partielle ou complète de la vision.) Étourdissements avec perte d'équilibre ou perte de coordination des mouvements corporels, Respiration saccadée ou difficile

 Les principaux facteurs de risque de l'AVC

Mauvaise alimentation :  manger de grandes quantités de sucre, de sel et de graisse affectent le système nerveux et augmente le risque d'AVC et d'autres maladies telles que l'hypertension ou le diabète. Lorsqu'une personne est atteinte d'hypertension, le risque d'AVC augmente de manière considérable. Une augmentation de la tension artérielle augmente 4 fois le risque d'AVC ischémique (formation d'un caillot sanguin qui réduit le flux sanguin) et 10 fois celui d'AVC hémorragique (saignement qui survient après la rupture d'un vaisseau sanguin dans la région du cerveau).

Antécédents familiaux : les experts de la santé affirment qu’une personne est plus à risque si un membre de sa famille immédiate (grands-parents, parent, frère ou sœur) a subi un AVC avant l’âge de 65 ans. De plus, si vous avez déjà fait un AVC ou un AIT (accident ischémique transitoire), votre risque d’en subir un deuxième augmente.

Vieillissement : la moitié des cas d’AVC touche des seniors de plus de 75 ans. Chez la plupart d’entre eux, il n’y a pas de signe précurseur avant une crise, mais certains facteurs peuvent être surveillés : les paroles confuses, les difficultés de compréhension, l’engourdissement d’un côté, les troubles de la vision, les tremblements ou les problèmes d’équilibre.

Comment éviter un accident vasculaire cérébral :  Mangez sain et équilibré, avec un apport quotidien adéquat de nutriments et d’antioxydants (fruits et légumes, herbes, aliments riches en potassium, et autres poissons gras comme le saumon car ils contiennent des omégas-3 indispensables pour la bonne santé du cerveau). Ayez un sommeil réparateur de 7 heures par nuit minimum. Perdez du poids en cas de surpoids ou d’obésité pour réduire le risque de diabète et de cholestérol.

Vérifiez constamment votre pression artérielle pour éviter les pics de tension. Le traitement de l’hypertension artérielle réduit de 40 % le risque d’AVC..Faites régulièrement du sport pour tonifier vos muscles, améliorer la circulation sanguine et brûler les graisses.. Bannissez ou du moins réduisez au maximum votre consommation d’alcool et de cigarettes. Maintenez un faible niveau de stress en pratiquant par exemple de la méditation

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